Saturday, April 16, 2016

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L'homme qui marche, by Jirô Taniguchi

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L'homme qui marche, by Jirô Taniguchi

Détails sur le produit

Broché: 142 pages

Editeur : Casterman (2 octobre 1995)

Collection : Manga

Langue : Français

ISBN-10: 2203372028

ISBN-13: 978-2203372023

Dimensions du produit:

21 x 14,8 x 1,2 cm

Moyenne des commentaires client :

3.9 étoiles sur 5

17 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

1.151.824 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

livre poétique qui calme, à conserver dans sa table de nuit à la place d'un anxiolitique, ce n'est pas un manga ordinaire

un classique de Taniguchi. on le lit et on le relit car on y redécouvre toujours quelque chose, je recommande !

Passionné des oeuvres de Jiro Taniguchi, j'ai acheté, comme à mon habitude, les yeux fermés ce volume.Finalement, dès les premières minutes de lecture, j'ai sombré immédiatement dans l'ennui, malgré mes dispositions favorables. Et, après m'être efforcé de lire plus d'un tiers du livre, j'ai dû me résigner à laisser l'ouvrage de côté.Hier enfin, après une longue période d'attente, j'ai pris mon courage à deux mains et ai entrepris de finir cette lecture.Malgré le temps passé, l'impression est restée la même. L'histoire d'un homme contemplatif qui, sous des dehors d'adulte à la belle allure, semble plus que nostalgique, un grand enfant sans complexe, qui s'assume parfaitement dans ses agissements puérils, à moins que son enfance ait été malheureuse et qu'il la rattrape ici partiellement, nul ne le sait (si ce n'est l'auteur).Son harmonie avec la nature ou les petits riens de la vie de tous les jours en font un homme heureux et parfaitement serein, que les événements de la vie ne sauraient perturber. Même sa femme semble s'apparenter plus à une petite fille qu'à une véritable adulte.Un message apaisant, une décontraction salvatrice et aucun petit malheur dans cette chronique de la vie de tous les jours, où de tout événement (même le passage d'un typhon) on peut tirer des aspects positifs. De tout il semble possible d'y trouver de bons côtés (même des lunettes de vue cassées).Cependant, rien que de parfaitement ennuyeux à la lecture, ai-je trouvé. Mais il est vrai que je n'ai pas de prédisposition particulière à l'égard de tout ce qui s'apparente à de la poésie.Il se peut donc que cela plaise à d'autres. Si vous vous sentez l'âme d'un poète ou d'un grand enfant décomplexé, peut-être cela peut-il vous convenir. Mon ressenti n'engage que moi.Bonne lecture à ceux qui sauront apprécier cette chronique à sa juste valeur. Il est vrai que même la quasi-absence de paroles concoure elle aussi à cette sérénité qui se dégage.Ma sympathie demeure pour Jiro Taniguchi, qui est un grand personnage plein de sensibilité et dont je continuerai à suivre assidûment les oeuvres.

Il s'agit d'un recueil de 18 histoires courtes de 8 pages chacune (sauf la dernière de 11 pages), en noir & blanc, écrites, dessinées et encrées par Jirô Taniguchi, initialement parues en 1995. Cette édition de 2003 comprend une histoire supplémentaire par rapport à la première édition, réalisée 10 ans après. Casterman a choisi de présenter ces histoires dans un sens européen (de gauche à droite), ce qui n'a aucune incidence sur les images (difficile même de repérer si l'homme qui marche est droitier ou gaucher).Le dispositif narratif est identique d'une nouvelle à l'autre : un monsieur (trentenaire ou quadragénaire ?) se promène dans une ville (toujours la même) au Japon. Soit il s'agit d'une promenade d'agrément au cours de laquelle il observe ce qui l'entoure (une personne âgée qui se promène, l'état des rues après un typhon), soit il s'est fixé un but à sa promenade (comme se baigner dans une piscine fermée, ou observer le lever de soleil depuis le toit en terrasse d'un immeuble).Les titres de ces 18 nouvelles sont les suivants : (1) Observer les oiseaux, (2) Tombe la neige, (3) Dans la ville, (4) Grimper à l'arbre, (5) Il pleut, (6) Nager dans nuit, (7) Après le passage du typhon, (8) Le long du chemin, (9) La nuit étoilée, (10) Dans la ruelle, (11) Un paysage flou, (12) Sous le cerisier, (13) Objet perdu, (14) L'aube, (15) Un store en roseau, (16) Un bon bain, (17) Voir la mer, et (18) Dix ans après.Ces 18 nouvelles disposent donc d'un personnage récurrent dont la propension à observer ce qui l'entoure constitue le lien d'une histoire à l'autre. Il s'agit d'un monsieur un peu rondouillard, arborant souvent un sourire (seule la canicule dans "Un store en roseau" le fait tellement souffrir qu'il en perd sa bonne disposition d'esprit), vêtu avec soin (chemise, pantalon de costume, parfois cravate et veston, plus rarement une tenue décontractée), certainement un cadre moyen ou supérieur (on le voit aller ou revenir du travail à une ou deux occasions). L'autre personnage récurrent est son épouse qui ne fait montre d'aucune personnalité dans les quelques cases où elle apparaît.Dès la première page, le lecteur peut apprécier les qualités de dessinateurs de Jirö Taniguchi. Il s'agit d'un dessin pleine page montrant l'homme qui marche s'avançant vers le lecteur au milieu d'une ruelle, avec la perspective montrant les façades et clôtures des 2 côtés de cette ruelle. L'homme est vêtu d'une belle parka, il a les yeux tournés légèrement vers l'horizon, et il arbore un sourire de contentement. Le lecteur peut détailler l'arrière plan qui est criant de réalisme : 2 clôtures de nature différente dont l'une carrelée (il ne manque aucun carreau), les arbustes, une roue de vélo qui dépasse, les toitures et leurs tuiles (il ne manque aucune tuile), les gouttières, les antennes, le tampon de regard de l'égout, etc. Dans chacun de ces 18 nouvelles, le lecteur est invité à rendre le temps de regarder, de détailler l'environnement dans lequel évolue l'homme qui marche. Il peut contempler ce qui l'entoure comme s'il était lui-même l'homme qui marche. Tanigchi utilise un trait très fin pour délimiter les contours ce qui aboutit à des dessins à l'apparence éthérée et délicate, même si le nombre de détails est élevé.Taniguchi alterne les plans montrant l'homme qui marche en train d'avancer, le mettant en situation dans le décor qui l'entoure, ou interagissant (échanges de propos avec une autre personne, transport d'un objet, promenade du chien, etc.), avec des plans subjectifs (la case montre ce que l'homme est en train de regarder, avec son point de vue physique, à partir de la position de ses yeux). Le lecteur éprouve donc aussi bien la sensation d'être un spectateur des mouvements de l'homme, que de parfois voir la réalité par ses yeux.À l'évidence chacune de ces nouvelles ne racontent pas une histoire sur la base d'une solide intrigue. Il y a parfois une forme de chute, mais ce qui importe avant tout est l'instant présent (le voyage plutôt que la destination) et la capacité d'être curieux des petites choses. Taniguchi met en en scène un individu qui prend le temps de se promener et de regarder. L'homme qui marche n'est pas à la recherche de sensationnel, de grands événements, ou de réalisations spectaculaires. Il observe la vie quotidienne dans ce qu'elle a de plus ordinaire et de plus banale, au point d'en devenir insignifiant et invisible. Observer les oiseaux, cheminer à côté d'un inconnu, s'allonger sous un arbre, souffrir de la chaleur, regarder un paysage nouveau (en bordure de mer), l'homme qui marche observe avec un regard ouvert au monde, avec une disposition d'esprit dont la sérénité lui permet de voir ce que l'esprit écarte d'habitude comme étant trop commun.Il devient alors évident que Taniguchi ait choisi un personnage sans marque distinctive de capacité physique ordinaire, et encore moins remarquable. Il construit ses nouvelles pour proposer un regard orienté sur le calme de la ville, sur des oasis de paix. Pour un citadin, cette façon de voir les choses est une illusion. La ville n'est jamais calme, jamais au repos.Pour un lecteur occidental, se pose la question de savoir si ce que montre Taniguchi est réel ou non. En tant qu'auteur, il recompose forcément ses observations, il y a donc une forme d'interprétation du réel, un regard orienté pour faire émerger une composante, une particularité plutôt qu'une autre. Taniguchi mêle le vrai et le faux. Lorsque le lecteur contemple un dessin comprenant un haut degré de détails techniques et urbanistiques, il se dit que l'auteur a dû travailler d'après photographie ou suite à des repérages minutieux. Nouvelle après nouvelle, le niveau de précision est hallucinant. Taniguchi n'utilise aucun raccourci graphique pour réaliser une case plus vite. Il fait preuve du même degré d'investissement qu'il s'agisse de représenter des herbes folles, une façade de maison ou des toitures vues du ciel (page 80).À ces moments, le lecteur acquiert la conviction que ce qui lui est donné à voir est bien réel, qu'il y a un quartier d'une ville de moyenne importance au Japon qui ressemble à ce qui est dessiné. En même temps, il ne peut qu'être surpris de la faible densité de population, du peu de personnes que croise l'homme qui marche. Le calme et l'apaisement ressentis par l'homme qui marche ne sont possibles que dans un environnement où il a la place d'exister, la possibilité de prendre le temps de regarder sans être entraîné par la foule. Sur 18 nouvelles, un tiers comprend une interaction verbale significative entre l'homme qui marche et quelqu'un d'autre. Dans les deux autres tiers, la ville n'est que le décor de ses déambulations. Le lecteur la voit telle que l'homme qui marche la perçoit. Il ne s'agit donc plus du réel, mais bien de la représentation qu'il s'en fait. D'ailleurs les individus avec qui il échange quelques propos peuvent également être considérés comme des figurants dans sa vie intérieure, sans réelle personnalité ou épaisseur. Ces nouvelles montrent comment l'homme qui marche s'affranchit des êtres humains (sauf quand il souhaite en voir certains) pour mieux percevoir la ville qui l'entoure, qui constitue son environnement.Avec 18 récits courts très axés sur l'environnement urbain, Jirô Taniguchi propose au lecteur de partager des moments de paix intérieure d'un individu capable de regarder le quotidien en face pour voir ce qu'il a d'extraordinaire. Taniguchi reconstruit avec habilité la banalité d'un urbanisme de banlieue nippon pour en faire apparaître les singularités et les bons côtés (même quand on est trempé sous une pluie d'été). Il ne fait pas l'éloge d'une qualité de vie urbaine. Il montre plutôt comment l'individu peut s'approprier la réalité, l'assujettissant à sa curiosité pour en faire le décor de ses rêveries, de sa façon de voir les choses.

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